La relation thérapeutique est essentielle. Un analysant pourra être frustré par le silence du thérapeute, tandis qu’un autre ne supportera pas ses conseils qu’il vivra comme intrusifs.
Le « bon thérapeute » est celui avec lequel on se sent bien. La réciproque n’est pas forcément vraie : ce n’est pas parce qu’un psychanalyste exprime son empathie qu’il est un bon analyste. Par ailleurs, il est important d’envisager des séances préalables, (entre 3 et 4) pour voir si ce travail à deux peut être fait ensemble.